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 Résumé la boite à merveilles chapitre par chapitre

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المعلمة
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MessageSujet: Résumé la boite à merveilles chapitre par chapitre   Résumé la boite à merveilles chapitre par chapitre Empty22/8/2012, 13:33

Résumé la boite à merveilles chapitre par chapitre












Résumé la boite à merveilles chapitre par chapitre La-boite-a-merveilles-ahmed-sefrioui



Chapitre par Chapitre ( Tous le roman )


Chapitre I:
Dar Chouafa Deux éléments déclenchent
le récit : la nuit et la solitude. Le poids de la solitude. Le narrateur
y songe et part à la recherche de ses origines : l’enfance.Un enfant de
six ans, qui se distingue des autres enfants qu’il côtoie. Il est
fragile, solitaire, rêveur, fasciné par les mondes invisibles. A travers
les souvenirs de l’adulte et le regard de l’enfant, le lecteur découvre
la maison habitée par ses parents et ses nombreux locataires. La visite
commence par le rez-de-chaussée habité par une voyante. La maison porte
son nom : Dar Chouafa. On fait connaissance avec ses clientes, on
assiste à un rituel de musique
Gnawa, et on passe au premier où Rahma, sa fille Zineb et son mari
Aouad, fabricant de charrues disposaient d’une seule pièce. Le deuxième
étage est partagé avec Fatma Bziouya. L’enfant lui habite un univers de
fable et de mystère, nourri par les récits de Abdellah l’épicier et les
discours de son père sur l’au-delà. L’enfant de six ans accompagne sa
mère au bain maure. Il s’ennuie au milieu des femmes,
Cet espace de vapeur, de rumeurs, et d’agitation était pour lui bel et
bien l’Enfer. Le chapitre se termine sur une sur une querelle
spectaculaire dont les acteurs sont la maman de l’enfant et sa voisine
Rahma.
Chapitre II :
Visite
d’un sanctuaire Au Msid, école coranique, l’enfant découvre l’hostilité
du monde et la fragilité de son petit corps. Le regard du Fqih et les
coups de sa baguette de cognassier étaient source de cauchemars et de
souffrance. A son retour, il trouve sa mère souffrante. La visite que
Lalla Aicha, une ancienne voisine, rend ce mardi à Lalla Zoubida, la
mère de l’enfant, nous permet de les accompagner au sanctuaire de Sidi
Boughaleb. L’enfant pourra boire de l’eau de sanctuaire et retrouvera sa
gaieté et sa force. L’enfant découvre l’univers du mausolée et ses
rituels. Oraisons, prières et invocations peuplaient la Zaouia. Le
lendemain, le train train quotidien reprenait.
Le
père était le premier à se lever. Il partait tôt à son travail et ne
revenait que tard le soir. Les courses du ménage étaient assurées par
son commis Driss. La famille depuis un temps ne connaissait plus les
difficultés des autres ménages et jouissait d’un certain confort que les
autres jalousaient.
Chapitre III:
Le repas
des mendiants aveugles Zineb, la fille de Rahma est perdue. Une occasion
pour lalla Zoubida de se réconcilier avec sa voisine. Tout le voisinage
partage le chagrin de Rahma. On finit par retrouver la fillette et
c’est une occasion à fêter. On organise un grand repas auquel on convie
une confrérie de mendiants aveugles. Toutes les voisines participent à
la tâche. Dar Chouafa ne retrouve sa quiétude et son rythme que le soir.
Le printemps
Chapitre IV:
Les
ennuis de Lalla Aicha Les premiers jours du printemps sont là. Le
narrateur et sa maman rendent visite à Lalla Aicha. Ils passent toute la
journée chez cette ancienne voisine. Une journée de potins pour les
deux femmes et de jeux avec les enfants du voisinage pour le narrateur.
Le soir, Lalla Zoubida fait part à son mari des ennuis du mari da Lalla
Aîcha, Moulay Larbi avec son ouvrier et associé Abdelkader. Ce dernier
avait renié ses dettes et même plus avait prétendu avoir versé la moitié
du capital de l’affaire. Les juges s’étaient prononcés en faveur de
Abdelkader. L’enfant, lui était ailleurs, dans son propre univers, quand
ce n’est pas sa boîte et ses objets magiques, c’est le légendaire
Abdellah l’épicier et ses histoires. Personnage qu’il connaît à travers
les récits rapportés par son père. Récits qui excitèrent son imagination
et l’obsédèrent durant toute son enfance.
Chapitre V :
L’école
coranique. Journée au Msid. Le Fqih parle aux enfants de la Achoura. Ils
ont quinze jours pour préparer la fête du nouvel an. Ils ont congé pour
le reste de la journée. Lalla Aîcha , en femme dévouée, se dépouille de
ses bijoux et de son mobilier pour venir au secours de son mari. Sidi
Mohamed Ben Tahar, le coiffeur, un voisin est mort. On le pleure et on
assiste à ses obsèques. Ses funérailles marquent la vie du voisinage et
compte parmi les événements ayant marqué la vie d de l’enfant.
Chapitre VI :
Préparatifs
de la fête. Les préparatifs de la fête vont bon train au Msid. Les
enfants constituent des équipes. Les murs sont blanchis à la chaux et le
sol frotté à grande eau. L’enfant accompagne sa mère à la Kissaria. La
fête approchait et il fallait songer à ses habits pour l’occasion. Il
portera un gilet, une chemise et des babouches neuves. De retour à la
maison, Rahma insiste pour voir les achats fait à la Kissaria.Le
narrateur est fasciné par son récit des mésaventures de Si Othman, un
voisin âgé, époux de Lalla Khadija, plus jeune que lui.
Chapitre VII :
La fête
de l’Achoura. La fête est pour bientôt. Encore deux jours. Les femmes de
la maison ont toutes acheté des tambourins de toutes formes. L’enfant
lui a droit à une trompette. L’essai des instruments couvre l’espace
d’un bourdonnement sourd. Au Msid, ce sont les dernières touches avant l
e grand jour. Les enfants finissent de préparer les lustres. Le
lendemain , l’enfant accompagne son père en ville. Ils font le tour des
marchands de jouets et ne manqueront pas de passer chez le coiffeur.
Chose peu appréciée par l’enfant. Il est là à assister à une saignée et à
s’ennuyer des récits du barbier. La rue après est plus belle, plus
enchantée. Ce soir là, la maison baigne dans l’atmosphère des derniers
préparatifs. Le jour de la fête, on se réveille tôt, Trois heures du
matin. L’enfant est habillé et accompagne son père au Msid célébrer ce
jour exceptionnel. Récitation du coran, chants de cantiques et
invocations avant d’aller rejoindre ses parents qui l’attendaient pour
le petit déjeuner. Son père l’emmène en ville. A la fin du repas de
midi, Lalla Aicha est là. Les deux femmes passent le reste de la journée
à papoter et le soir, quand Lalla Aicha repart chez elle, l’enfant
lassé de son tambour et de sa trompette est content de retrouver ses
vieux vêtements.
L’été.
Chapitre VIII :
Les
bijoux du malheur. L’ambiance de la fête est loin maintenant et la vie
retrouve sa monotonie et sa grisaille. Les premiers jours de chaleur
sont là. L’école coranique quitte la salle du Msid, trop étroite et trop
chaude pour s’installer dans un sanctuaire proche. L’enfant se porte
bien et sa mémoire fait des miracles. Son maître est satisfait de ses
progrès et son père est gonflé d’orgueil. Lalla Zoubida aura enfin les
bracelets qu’elle désirait tant. Mais la visite au souk aux bijoux se
termine dans un drame. La mère qui rêvait tant de ses bracelets que son
mari lui offre, ne songe plus qu’a s’en débarrasser. Ils sont de mauvais
augure et causeraient la ruine de la famille. Les ennuis de Lalla Aicha
ne sont pas encore finis. Son mari vient de l’abandonner. Il a pris une
seconde épouse, la fille de Si Abderahmen, le coiffeur. Si l’enfant se
consacre avec assiduité à ses leçons, il rêve toujours autant. Il
s’abandonne dans son univers à lui, il est homme, prince ou roi, il fait
des découvertes et il en veut à mort aux adultes de ne pas le
comprendre. Sa santé fragile lui joue des tours. Alors que Lalla Aîcha
racontait ses malheurs, il eut de violents maux de tête et fut secoué
par la fièvre. Sa mère en fut bouleversée.
Chapitre IX :
Un ménage
en difficulté. L’état de santé de l’enfant empire. Lalla Zoubida
s’occupe de lui nuit et jour. D’autres ennuis l’attendent. Les affaires
de son mari vont très mal. Il quitte sa petite famille pour un mois. Il
part aux moissons et compte économiser de quoi relancer son atelier.
L’attente, la souffrance et la maladie sont au menu de tous les jours et
marquent le quotidien de la maison. Lalla Zoubida et Lalla Aicha, deux
amies frappées par le malheur, décident de consulter un voyant, Sidi Al
Arafi.
Chapitre X :
Superstitions.
Les conseils , prières et bénédictions de Sidi Al Arafi rassurèrent les
deux femmes. L’enfant est fasciné par le voyant aveugle. Lalla Zoubida
garde l’enfant à la maison. Ainsi, elle se sent moins seule et sa
présence lui fait oublier ses malheurs. Chaque semaine, ils vont prier
sous la coupole d’un saint. Les prédications de Sidi A Arafi se
réalisent. Un messager venant de la compagne apporte provisions, argent
et bonne nouvelles de Sidi Abdesalam. Lalla Aicha invite Lalla Zoubida.
Elle lui réserve une surprise. Il semble que son mari reprend le chemin
de la maison.
Chapitre XI :
Papotage
de bonnes femmes. Thé et papotage de bonnes femmes au menu chez Lalla
Aicha. Salama, la marieuse, est là. Elle demande pardon aux deux amies
pour le mal qu’elle leur a fait. Elle avait arrangé le mariage de Moulay
Larbi. Elle explique que ce dernier voulait avoir des enfants. Elle
apporte de bonnes nouvelles. Plus rien ne va entre Moulay Larbi et sa
jeune épouse et le divorce est pour bientôt. Zhor, une voisine, vient
prendre part à la conversation. Elle rapporte une scène de ménage. Le
flot des potins et des médisances n’en fint pas et l’enfant lui , qui ne
comprenait pas le sens de tous les mots est entraîné par la seule
musique des syllabes.
Chapitre XII :
Un
conte de fée a toujours une chute heureuse. La grande nouvelle est
rapportée par Zineb. Maâlem Abdslem est de retour. Toute la maison est
agitée. Des you you éclatent sur la terrasse Les voisines font des vœux.
L’enfant et sa mère sont heureux . Driss, est arrivé à temps annoncer
que le divorce entre Moulay Larbi et la fille du coiffeur a été
prononcé. La conversation de Driss El Aouad et de Moulay Abdeslem,
ponctuée de verres de thé écrase l’enfant. Il est pris de fatigue mais
ne veut point dormir. Il se sent triste et seul. Il tire sa Boite à
Merveille de dessous son lit, les figures de ses rêves l’y attendaient.
Fin.
L’auteur:



Ahmed Sefrioui, écrivain marocain, est
né en 1915 à Fès . C’est l’un des premiers fondateurs de la littérature
marocaine d’expression française. Passionné de patrimoine, il a occupé
des postes administratifs aux Arts et Métiers de Fès, puis à la
direction du tourisme à Rabat. Il sera à l’origine de la création de nombreux musées comme Batha, Oudaya et Bab Rouah. Il est mort en mars 2004



L’histoire:



La
Boîte à Merveille La symphonie des trois saisons… Premier roman de
Sefrioui, La boîte à merveille, une suite de scènes et de tableaux,
raconte la vie quotidienne d’une famille populaire dans la vieille ville
de Fès. Dès son ouverture, le roman ne manque pas d’installer une
ambiance exotique. Un regard pittoresque sur un monde plein de
tendresse, de couleurs et de parfums, qui ne manque pas d’ambiguïté sur
le sens du récit. C’est bel et bien un album, pour reprendre
l’expression du narrateur, dont le lecteur tournera les pages. Un album
haut en couleurs qui nous fera parcourir trois saisons et nous mènera de
découverte en découverte, explorer la société marocaine du début du
XXème siècle : mode de vie, traditions, rituels et vision du monde.
D’avoir masqué la réalité politique de l’époque, laisse entrevoir un
parfum d’exotisme et fait penser à un film documentaire d’ethnographe.



Résumé général de l’œuvre N 1



L’auteur-narrateur
personnage raconte son enfance alors qu’il avait six ans. Par un va et
vient entre le point de vue de l’auteur-narrateur adulte et de
l’auteur-narrateur enfant , le lecteur entre dans le monde solitaire du
narrateur qui malgré quelques timides amitiés ne semble compter comme
véritable ami que la boite à merveilles. En faisant le bilan de son
enfance, l’auteur raconte ses journées au Msid auprès du fqih et de ses
condisciples (=collègues), la maison de Dar Chouafa et les habitudes de
ses habitants ainsi que le souvenir de fierté de sa mère concernant ses
origines et son habitude à passer du rire aux larmes en plus de son art
de conter les événements d’une façon qui passionnait son auditoire. De
part son genre, le récit reste un véritable témoignage du vécu de ses
personnages par la fréquence des noms de quartier qui constituent une
véritable cartographie géographique. La figure calme du père est mise à
rude épreuve dans le marché des bijoux quand il vient aux mains avec le
courtier avant d’acheter les bracelets or et argent à sa femme.Cet
incident précède l’annonce de la perte du capital dans le souk des haïks
ce qui fait basculer le niveau de vie de la famille dans la pauvreté.
Après avoir assuré le quotidien de sa famille, le père part aux environs
de Fès pour travailler comme moissonneur. Après un mois d’absence, il
rentre chez lui pour apprendre le divorce de Moulay Larbi avec sa
seconde épouse, la fille du coiffeur, ce qui lui permet d’exprimer son
soulagement quant à ce dénouement.



Résumé général de l’œuvre N 2



Ahmed
Sefrioui, ou Sidi Mohammed, évoque son enfance passée à l’ancienne
Médina de Fes. Il menait une vie tranquille auprès de sa mère, femme au
foyer, et son père, tisserand.Il a consacré une bonne partie du livre à
parler des voisins, des amis de la famille, de leurs habitudes, de leur
problèmes et de leur vie quotidienne, et particulièrement de Lalla
Aicha, la meilleure amie de samère, qui a souffert à cause de son mari
ingras.La paisibilité de la vie de cet enfant de six ans fut troublée
par la perte de la bourse de son père, une bourse qui contenait tout son
capitale. Ce qui obligea le père de la famille à travailler dans les
champs pour pouvoir reprendre ton travail.Pendant son absence, la mère
et l’enfant visitaient quotidiennement des mauselées pour demander aux
saints de leurs rendre le père sain et sauf.Leur voeux fut exocé un mois
après le départ du père, ensuite les choses s’arrangèrent petit à
petit.Au milieu de tous ces événements, la boite à merveilles que
possédait Sidi Mohammed jouait un rôle très important, elle lui
représentait un véritable réconfort quand il avait des ennuies, c’était
synonyme d’accès à son propore monde



Schéma narratif



Etat initial : L’auteur-narrateur
personnage vit avec ses parents. Rien ne perturbe sa vie heureuse.
Cette phase occupe une place importante dans le récit (Ch. I jusqu’au
Ch. VIII). L’ampleur de cette étape traduit la félicité dans laquelle
baigne le petit enfant. D’ailleurs, il est plongé dans un monde
merveilleux.



Elément perturbateur : Ce
qui trouble cette félicité c’est la ruine du père qui a perdu son
capital : l’argent qu’il portait sur lui est tombé quelque part dans un
souk.



Péripéties : Le
voyage du père à la campagne, où il exerce un travail pénible afin de
pouvoir amasser de l’argent nécessaire pour se rétablir dans son
atelier. (Ch. VIII, IX, X, XI). Le congé accordé au petit qui ne va pas à
l’école coranique à cause de sa faiblesse. La tristesse de la mère qui
se rend aux mausolées et consulte les voyants.



Dénouement : e retour du père.


Situation finale : e retour de l’équilibre : le bonheur. La réouverture par le petit de sa boite à Merveilles.


Personnages principaux de l’œuvre



Je :C’est
l’auteur-narrateur-personnage. Il est le fils de lalla Zoubida et de
Sidi Abdeslem. Il s’appelle Sidi Mohamed.âgé de six ans, il se sent seul
bien qu’il aille au M’sid. Il a un penchant pour le rêve. C’est un
fassi d’origine montagnarde qui aime beaucoup sa boite à Merveilles,
contenant des objets mêlés. Il souffre de fréquentes diarrhées.



La boite à merveille :Le
véritable ami du narrateur. Elle contenait des boules de verre, des
anneaux de cuivre, un minuscule cadenas sans clef, des clous à tête
dorée, des encriers vides, des boutons décorés, des boutons sans décor,
un cabochon (=bouchon en verre ou en cristal de forme arrondie) de verre
à facettes offert par Rahma et une chaînette de cuivre rongée de
vert-de-gris offerte par Lalla Zoubida et volée par le chat de Zineb.



Lalla Zoubida :la
mère du narrateur. Une femme qui prétend être la descendante du
prophète et s’en vante (s’en flatte). Elle croit aux superstitions. Ses
yeux reflètent une âme d’enfant ; elle a un teint d’ivoire, une bouche
généreuse et un nez court. Elle n’est pas coquette. Agée de vingt-deux
ans, elle se comporte comme une femme vieille. Sidi Abdeslem : le père
du narrateur, homme d’origine montagnarde. Il s’installe à Fès avec sa
famille après avoir quitté son village natal situé à une cinquante de
kilomètre de la ville. Il exerce le métier de tisserand (=fabriquant des
tissus) Grâce à ce métier, il vit à l’aise. Homme fort et de haute
taille. Un homme barbu que le fils trouve beau. Il a la quarantaine.



La chouaffa :Voyante, c’est la principale locataire de Dar Chouaffa et on l’appelle tante kanza.


Dris El Aouad :C’est un fabriquant de charrues. Il est époux de Rahma. Il a une fille âgée de sept ans qui s’appelle Zineb.


Fatma Bziouya :Elle partage avec la famille du narrateur le deuxième étage, son mari Allal est jardinier.


Abdelleh :Il est épicier. Le narrateur lui attribue toutes les histoires merveilleuses qu’il a eu l’occasion d’entendre.


Le fqih du Msid :Maître
de l’école coranique. Il somnole pendant que les écoliers récitent les
versets du Coran. Il distribue des coups de baguette au hasard.Un grand
maigre à barbe noire, dont les yeux lançaient des flammes de colère et
qui habitait rue Jiaf.



Lalla Aicha :Une
ancienne voisine de lalla Zoubida, c’est une Chérifa qui a su rester
digne malgré les déception du sort et dont la connaissance flattait
l’orgueil de lalla Zoubida.



Driss le teigneux : idèle serviteur de Sidi Abdessalem, il garnissait (= remplissait) les canettes et faisait les commissions



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FIGURES DE STYLE


Les figures de rapprochement

La comparaison : elle consiste à rapprocher deux éléments,
un comparé et un comparant, pour en souligner les ressemblances ou
les différences. Le rapprochement des deux termes se fait au moyen
d’un outil de comparaison.


Ex : Les dauphins (terme comparé) alentour sautent comme (outil de comparaison) des carpes (terme comparé).



La métaphore : comme la comparaison, elle rapproche deux éléments, mais sans les relier par un outil de comparaison.

Ex : L’aurore est un cheval

Qui s’ébrouant chasse au loin les corneilles.

Les figures de remplacement

La métonymie : cette figure consiste à désigner un être ou un objet par un autre être ou objet qui a un rapport avec lui.

Ex : boire un verre (le contenant désigne le contenu). Tout Brest accourut. Chateaubriand (le nom de la ville désigne l’ensemble des habitants).

La synecdoque : c’est
une forme particulière de métonymie. Elle consiste à désigner un
être ou un objet par un mot désignant une partie de cet être ou de
cet objet. L’inverse (le tout pour la partie) est également
possible.


Ex : C’était une confusion, un fouillis de têtes et de bras qui s’agitaient. Zola (= de personnes)

La périphrase : on emploie une expression au lieu d’un seul mot pour désigner un être ou un objet.

Ex : l’île de beauté pour la Corse

L’euphémisme : on emploie à la place d’un mot, jugé brutal, un autre mot, au sens atténué.

Ex : Il n’est plus tout jeune = il est vieux.

La litote : on dit peu, pour en exprimer davantage, souvent en utilisant une forme négative.

Ex : Ce n’est pas mal = c’est très bien.

L’antiphrase : par
ironie, on dit le contraire de ce que l’on pense mais le ton
employé ne laisse aucun doute sur le sens véritable du message.


Ex : J’adore ta nouvelle coupe de cheveux! = je la trouve horrible.
Les figures d’insistance

L’anaphore : on répète un mot ou une expression au début de plusieurs vers ou phrases.

Ex : Que tu es belle, ma bien aimée,

Que tu es belle! Cantique des Cantiques

L’hyperbole : on emploie des termes exagérés pour frapper le destinataire.

Ex : être mort de rire.

La gradation : on fait se suivre dans une même phrase ou un même vers des termes de plus en plus forts.

Ex : Va, cours, vole et nous venge! Corneille

Les figures d’opposition

Le chiasme : quatre termes fonctionnent ensemble deux par deux: le 1er et le 4ème, le 2ème et le 3ème sont de même nature grammaticale.

Ex : Plus l’offenseur est cher et plus grande est l’offense.

L’oxymore : on rapproche deux termes de sens contradictoires dans un même groupe de mots.

Ex : Cette obscure clarté qui tombe des étoiles.

L’antithèse : on rapproche dans une même phrase deux idées opposées.

Ex : N’est-ce pas toi qui pleures et Méduse qui rit? Aragon

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